Nous sommes convaincus que le numérique, la qualité et la solidité du système d’information permettant de partager les informations avec les autres professionnels de santé, la qualité et la pertinence de l’utilisation des données constituent une voie essentielle pour le rôle du biologiste médical demain dans le système de soin. Nous l’avons vu lors du Covid et l’importance du SIDEP dans le dispositif global de pilotage de la réponse à la crise.
Le SDB a donc répondu favorablement à la demande de la Direction du numérique en santé (DNS) d’être associé aux travaux. Nous avons toujours considéré que commenter et revendiquer, cela peut être utile, mais qu’il faut savoir aussi s’investir dans les dossiers quand la co-construction des solutions a du sens. Or c’est le cas en numérique en santé.
N’hésitez pas à regarder et télécharger la fiche pratique qui explique ce qu’est le volet numérique du Ségur en santé pour les laboratoires.
Où en est le chantier du Ségur de la biologie ?
La réponse a été donnée dans le webinaire co-organisé le 30 septembre par l’Agence du numérique en santé, le ministère de la santé et l’Assurance maladie, et dans lequel le SDB est intervenu.
- Retrouvez le webinaire en replay.
- Téléchargez les slides du replay [ici].
Une bibliothèque de documents pour tout suivre du Ségur du numérique
Au-delà de ce webinaire, vous pouvez suivre les travaux et avoir accès à l’ensemble des documents et textes officiels sur le Ségur du numérique, grâce au sommaire dynamique mis en place et accessible ici.
Nous sommes à votre disposition pour répondre à toutes questions sur le sujet (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.).
Réponses de Raphaël Beaufret aux questions posées lors du webinaire.- Qui contacter pour l'appel aux volontaires sur les prescriptions dématérialisées ?
Réponse : Pour les volontaires à participer à 4/5 groupes de travail sur la demande/prescription numérique d'actes de biologie, vous pouvez me contacter sur Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - Un laboratoire qui décide de transcoder lui-même son catalogue peut-il obtenir un financement ?
Réponse : Non, le financement du transcodage se fait au travers des éditeurs qui fournissent la prestation de transcodage.
- Un éditeur peut-il refuser de mettre à jour un client à 0€ ?
Réponse : Non. - Les logiciels médecins vont-ils évoluer aussi rapidement pour recevoir nos futurs CR au format CDA ? Les médecins auront-ils une aide financière à cette mise à jour ? Si nous sommes prêts dans les délais pour les laboratoires, les cabinets médicaux le seront-ils ? Notamment pour la e-prescription et le codage LOINC de leur dictionnaire d'analyses dans leur logiciel ? Ont-ils un accompagnement identique pour adapter leurs logiciels ?
Réponse : De la même manière qu'il y a un financement pour les éditeurs de Systèmes de gestion de laboratoires (SGL), les éditeurs de Logiciels de gestion de cabinet (LGC) ont le même type de financement s'il réponde au Dossier de spécifications de référencement (DSR) médecine de ville. Ces éditeurs sont d'ailleurs beaucoup plus en avance que les éditeurs de SGL
- Où pourra-t-on trouver la liste des RIS (systèmes d’information radiologique), systèmes de gestion de laboratoires (SGL), Logiciels de gestion de cabinet (LGC) référencés ?
Réponse : https://ans.wiin.io/fr/programs - L'envoi au format CDA ne se fait actuellement que pour les CR complet (il me semble). Est-ce que l'on pourra par la suite transmettre des CR partiels ?
Réponse : Oui, c’est prévu. - Est-ce (enfin) la fin des éditions papiers pour les ES, les médecins voire les patients?
Réponse : Oui c’est le but.
Voilà la démo de mon espace santé avec la vision de la messagerie citoyenne : https://www.youtube.com/watch?v=w0rbT4q7Dzs
- Qui contacter pour l'appel aux volontaires sur les prescriptions dématérialisées ?